Cher lecteur, chère lectrice,
La démocratie finalement ne serait-elle pas mure pour intégrer une nouvelle corde à son arc?
Quand l'absentéisme est bas, des majorités peuvent en effet se dégager alors qu'une autre majorité, silencieuse, ne s'est paradoxalement pas exprimée !
Régulièrement, après chaque élection, on se pose la question de l'interprétation de l'absentéisme.
Et si on inversait les choses?
Quel serait l'impact si on décidait des choses suivantes :
1) Le vote nul est un vote exprimé
2) Si le total des votes nuls dépasse un certain seuil, l'élection est invalidée avec des conditions bien connues et définies à l'avance.
Concernant le point 2, les spécialistes du droit (constitutionnel) devront y mettre les frontières.
En résumé, je ne vois pas ce qui fait qu'un vote blanc, c'est à dire l'expression d'un citoyen qui a fait l'effort de venir voter, ferait l'objet d'une ségrégation.
Bonne réflexion
Jean-Michel