Bonjour,
L'article de qualité paru dans le journal Les Echos du 28 janvier 2009 cité en bas de page, permet de se réjouir d'un "recalage" vis à vis de ceux qui étaient "un peu trop décalés" en leur temps ;-)
Cet article résume très bien en effet ce que j'ai mis concrêtement en oeuvre ces dernières années auprès de mes clients ainsi que la démarche opérationnelle de tous ceux qui travaillent chez Hommes & Process en mettant leur savoir et compétences "décalées" à leur service. L'efficacité opérationnelle est donc bien plus stratégique qu'il n'y paraît!
Cet article illustre également la ré-écriture de business modèle. Ce que certains ont réinvité et mis en oeuvre à la sortie de l'éclatement de la bulle internet n'est ébauché par d'autres qu'aujourd'hui forcés par la crise financière et économique. Les frontières bougent et c'est somme toute bon pour tous les acteurs. L'écoute (active?)d'avis et d'opinion ne sortira que privilégiée.
Ce qui me fait sourire par ailleurs c'est qu'un certain nombre d'organisations citées dans cet article sont soit déjà des clients de longue date, soit aient pris contact depuis l'éclatement de la crise, soit aient une connaissance de ce que nous faisons via leur système de veille. Pour certains aussi la copie n'est pas loin preuve que ce que nous apportons est solide.
Hommes & Process a opté ces dernières années par un positionnement haut de gamme, décalé et de caractère, mais à très forte valeur ajoutée permettant de faire gagner au moins 15% de productivité entre 6 et 18 mois.
C'est pourquoi une société comme Hommes & Process sortira grandie de cette crise, car depuis 6 ans maintenant son expertise autour des identités numériques, son centrage autour des ressources humaines, des méthodes de travail modernes, et des réseaux sociaux d'entreprises comme Groove donne à ses clients des gains de compétitivité supérieurs à 15% et une sécurité des échanges d'information très élevés.
Jean-Michel Davault
Directeur Fondateur
Hommes & Process
Source : Le journal Les Echos du 28 janvier 2009
PS : Vous pouvez également lire, au moins, le premier chapitre du livre La confiance collaborative en réseaux. .
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